Souffrir d’une dépendance est l’une des pires choses qui puisse arriver à une personne. Non seulement il peut avoir des effets très nocifs sur le corps, mais il a aussi des conséquences très négatives pour l’environnement du toxicomane. Les amis, le travail et la famille sont touchés, ce qui peut parfois pousser le toxicomane au bord du gouffre. Cependant, il arrive un moment où le toxicomane doit décider s’il doit entrer dans un centre de réadaptation en toxicomanie pour recevoir un certain type de traitement afin de récupérer. Selon les détails sur https://www.infiniterecovery.com/, c’est un moment clé dans la vie de chaque toxicomane où choisir cette voie est la meilleure option pour reprendre le contrôle de soi.
L’importance du traitement
Lorsqu’un traitement est proposé, il se fait avec l’objectif que le patient apprenne à vivre sans consommer afin qu’une fois ce processus terminé, il puisse mener une vie productive sans avoir recours à la consommation. Dans les centres de réadaptation, les thérapies de désintoxication, de sevrage et de réadaptation sont menées d’un point de vue holistique. Cela signifie que la personne et sa situation sont prises en compte. Cela implique la coordination de professionnels de différentes disciplines tels que des médecins, des psychiatres, des psychologues, des infirmières et des éducateurs. Tous ces professionnels travaillent ensemble pour obtenir un résultat positif pour le patient.
Une équipe professionnelle
Une valeur ajoutée de l’équipe professionnelle qui travaille dans ces centres de rééducation est que, bien souvent, elle est également composée d’anciens toxicomanes qui apportent leur propre expérience dans le processus de rééducation. Un autre aspect essentiel est que les professionnels des centres évaluent chaque cas pour trouver le traitement qui conviendra le mieux à chaque patient et à sa famille. Ainsi, le processus de rééducation comprend toutes les options de traitement possibles : ambulatoire, en centre de jour, hospitalisation, en clinique de désintoxication, et traitements thérapeutiques pour passer après la désintoxication vers une vie autonome.
La double approche du traitement
Lorsqu’il s’agit de traiter la toxicomanie, nous rencontrons plusieurs approches scientifiquement fondées. L’approche la plus courante comprend généralement une thérapie comportementale (soit une thérapie individuelle ou de groupe, une thérapie cognitive ou une gestion des contingences), des médicaments ou une combinaison des deux. Le fait d’appliquer un traitement spécifique ou un autre sera différent en fonction des besoins individuels de chaque patient et aussi du type de médicaments qu’il a consommé. D’autres facteurs qui peuvent également influencer l’approche du traitement sont la gravité de la dépendance et les tentatives passées d’arrêter de consommer.
Suivre un plan de traitement
Lorsqu’une personne décide de suivre un plan de traitement pour se remettre de la consommation de drogues, suivre une thérapie est un pilier de base de l’ensemble du processus. Les thérapies dites comportementales proposent au patient des stratégies pour faire face au désir de consommer, lui enseignent des moyens d’éviter les médicaments et de prévenir les rechutes, et aident à la gestion des rechutes si elles surviennent. D’autres avantages des thérapies comportementales se concentrent sur l’amélioration des compétences en communication, les relations interpersonnelles, les soins aux enfants ou la dynamique familiale.
Le processus de réadaptation
Il est très courant que le processus de réadaptation d’un toxicomane comprenne l’usage de drogues, en particulier pour traiter les toxicomanies. C’est le cas lorsque la dépendance concerne les opioïdes, des drogues telles que la méthadone, la buprénorphine et la naltrexone. Pour l’alcoolisme, les médicaments les plus couramment utilisés sont le disulfirame, l’acamprosate et la naltrexone. Dans tous les cas, il est courant que les personnes souffrant d’une dépendance sévère soient des utilisateurs de diverses drogues. Par conséquent, ils auront besoin d’un traitement pour toutes les substances dont ils ont abusé, et bien sûr, une surveillance dans un centre de réadaptation étroitement surveillé est essentielle.
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